King of this Atlas

was knee-deep in the heartache, lost inside a long, dark night Every road felt like a circle, every step just buying time I was drowning in the bottle, tryna find a way back home But the man I used to be was just a ghost I’d outgrown But maybe the fire wasn’t burning me down Maybe the ashes were shaping my crown I was lost inside the fire, thought the flames would turn me dust But they burned away the weakness, left a soul that I could trust Every scar became a scripture, every tear, a thread of light I was never meant to wither— I was always meant to rise Every dream was like a warning, every night, the shadows called Saw the faces of my past there, standing silent, ten feet tall Felt the weight of all my choices, heard the voices say my name And I knew that I was standing at the edge of something great Maybe the fall was just teaching me flight Maybe the dark was just leading to light I was lost inside the fire, thought the flames would turn me dust But they burned away the weakness, left a soul that I could trust Every scar became a scripture, every tear, a thread of light I was never meant to wither— I was always meant to rise So I let go of the heartbreak, let go of the pain Let the embers in my chest turn to sparks inside my veins Now I’m standing on the mountain, looking down at where I’ve been I was never lost—just waiting to begin I was lost inside the fire, thought the flames would take me whole But they made me something stronger, built from ashes, built from gold Every scar became a scripture, every tear, a thread of light I was never meant to wither— I was always meant to rise No, I was never meant to wither— I was always meant to rise

[Couplet 1] Né dans un mois d'octobre, dans un monde qui n’a pas attendu, L’existence ne m’a pas fait de cadeau, mais m’a forgé, un peu perdu. Je savais déjà, dès le premier souffle, que tout serait compliqué, La vie ne m'a jamais laissé la chance de respirer, de m’installer. Les erreurs se sont accumulées comme des pierres sur mon chemin, J'ai appris qu'il fallait avancer, même quand le monde semblait m’indiquer la fin. Loin de la douceur, l’encre est devenue mon unique alliée, Ma façon à moi de comprendre, de me libérer, de m’exprimer. Les rêves se sont effondrés comme des châteaux de sable, Mais chaque chute m’a appris à m’élever, à retrouver ma table. Je n'ai pas choisi le chemin de la facilité, ni même celui de l’oubli, Mais le BTP, ce fut mon ancrage, là où j'ai appris que le monde est sans répit. [Refrain] 🔥 J’ai vu les pleurs, mais j’ai pas cessé de chercher la vérité, 🔥 Les rêves tombent, mais j’les relève, car ils m’enseignent à être libre, 🔥 Quand ça fait mal, j’m'accroche à la lumière, même dans l’obscurité, 🔥 C’est dans le silence que j’ai trouvé la paix, c’est là que j’ai appris à m’accepter. 🔥 Les silences m’ont parlé, ils m’ont appris à mieux me comprendre, 🔥 Dans chaque erreur, chaque défaite, j’ai vu la chance d’apprendre, 🔥 Les portes se ferment, mais je trouve ma voie dans l’obscurité, 🔥 Je suis mon propre reflet, dans le miroir, j’ai trouvé mon humanité. [Couplet 2] Les routes que j'ai empruntées n’étaient pas pavées de roses, C’étaient des rues d’ombres, des corridors où les démons se posent. Les épreuves m’ont forgé, mais elles m’ont aussi posé des questions, Que reste-t-il quand on perd tout, quand tout n’est plus qu’une illusion ? Les gens me disaient "ça passera", mais comment croire en ce qui n’est pas tangible ? Leurs mots étaient vides, mais la réalité m'a ouvert les yeux, elle était indicible. J’ai vu ma mère se battre pour nous, dans ses silences pleins de regrets, Ses pleurs étaient ma faiblesse, mais ils m’ont poussé à ne jamais me laisser abattre. Les pages se sont noircies de pensées sombres, mais je ne me suis jamais tu, Parce que dans chaque erreur, je trouvais une réponse, dans chaque souffrance, une vertu. [Refrain] 🔥 J’ai vu les pleurs, mais j’ai pas cessé de chercher la vérité, 🔥 Les rêves tombent, mais j’les relève, car ils m’enseignent à être libre, 🔥 Quand ça fait mal, j’m'accroche à la lumière, même dans l’obscurité, 🔥 C’est dans le silence que j’ai trouvé la paix, c’est là que j’ai appris à m’accepter. 🔥 Les silences m’ont parlé, ils m’ont appris à mieux me comprendre, 🔥 Dans chaque erreur, chaque défaite, j’ai vu la chance d’apprendre, 🔥 Les portes se ferment, mais je trouve ma voie dans l’obscurité, 🔥 Je suis mon propre reflet, dans le miroir, j’ai trouvé mon humanité. [Couplet 3] On me dit que le temps efface tout, mais je sais qu’il ne fait que cacher, La vérité se cache dans l’âme, mais elle ne disparaît jamais, elle est gravée. Je n’ai pas encore trouvé toutes les clés, les r

Some things just fade away,
And that’s okay, that’s okay.
We loved so deep, but now we say,
Goodnight, goodnight, it's okay.
The night is quiet, but my heart still aches,
We built this love, but sometimes it breaks.
I hold the memories, soft in my hands,
Like fading footprints in the sand.
Some things just fade away,
And that’s okay, that’s okay.
We held on tight, but now we see,
Some things just weren’t meant to be.
I’ll whisper your name, though you’re not here,
I’ll sing you to sleep, wipe every tear.
Goodbye’s a song that’s hard to sing,
But in the end, it’s everything.
Some things just fade away,
And that’s okay, that’s okay.
We loved so deep, but now we say,
Goodnight, goodnight, it’s okay.
So rest now, love, in the quiet skies,
Some things fade, but they never die.
I’ll keep you close, no need to roam,
Goodnight, goodnight, you’re always home.

[Intro] Ouais, faut pas lâcher, frère. J’ai pas l’temps d’attendre, j’fais ça pour nous. [Couplet 1] J’ai grandi dans l’ombre, mais j’suis pas resté là, Pas d'grâce, juste l’envie d’faire ma place, moi, t'sais ça. Pas de rêve facile, juste des poings serrés, La rue m’a appris à jamais baisser la tête, c’est vrai. T’as les rêves plein la tête, mais ça coûte de l’temps, Faut pas trembler, faut tout donner, tout l’temps. J'ai traversé les tempêtes, le vent m’a giflé, Mais j’me suis pas laissé faire, j’ai rien oublié. [Refrain] Faut pas lâcher, faut foncer, même quand ça fait mal, Les rêves tombent, mais j'les relève, frère, normal. Tant qu’on respire, faut pousser jusqu’au bout, J’irai chercher mon avenir même si c’est flou. Faut pas lâcher, faut foncer, même quand ça fait mal, Les rêves tombent, mais j'les relève, frère, normal. Tant qu’on respire, faut pousser jusqu’au bout, J’irai chercher mon avenir, moi, même sans atout. [Couplet 2] J'ai vu des faiblesses, mais j'ai fait face, La rue m’a forgé, j’ai pas eu d'place pour l'place. Les années passent, mais j’ai pas changé, Toujours le même, à l’attaque, à me faire respecter. J’ai charbonné, la sueur sur le front, J’ai pris des risques, mais l’fric n’a jamais été mon son. J’ai fait des erreurs, mais j'ai appris à grandir, J’ai pas d’temps pour pleurer, faut juste repartir. [Refrain] Faut pas lâcher, faut foncer, même quand ça fait mal, Les rêves tombent, mais j'les relève, frère, normal. Tant qu’on respire, faut pousser jusqu’au bout, J’irai chercher mon avenir même si c’est flou. Faut pas lâcher, faut foncer, même quand ça fait mal, Les rêves tombent, mais j'les relève, frère, normal. Tant qu’on respire, faut pousser jusqu’au bout, J’irai chercher mon avenir, moi, même sans atout. [Pont] Rappelle-toi, la vie c’est pas un film, T’as pas le droit d’dormir, faut qu’tu prennes le rythme. On m’a dit que j’arriverai jamais, que j’ferai que tomber, Mais j’suis encore là, même quand le monde veut m’détester. Les blessures guérissent, les cicatrices restent, Mais faut pas lâcher, faut qu'tu mettes le reste. [Couplet 3] Pas question d’baisser la tête, j’ai bossé pour mon succès, Loin des faux rêves, j'ai tracé mon chemin, ouais, j’le sais. T’as vu ma vie ? Pas de magie, que du boulot, C’est pas facile, mais tu sais, moi j’ai pas le dos. Les faux amis, j’les laisse derrière moi, Faut avancer, faut grimper, faut pas faire d’compromis. J’ai tout donné pour pas finir dans l’ombre, Mais j’vais y arriver, frère, faut qu'ça explose, faut que ça tombe. [Refrain] Faut pas lâcher, faut foncer, même quand ça fait mal, Les rêves tombent, mais j'les relève, frère, normal. Tant qu’on respire, faut pousser jusqu’au bout, J’irai chercher mon avenir même si c’est flou. Faut pas lâcher, faut foncer, même quand ça fait mal, Les rêves tombent, mais j'les relève, frère, normal. Tant qu’on respire, faut pousser jusqu’au bout, J’irai chercher mon avenir, moi, même sans atout. [Outro] Faut pas lâcher... Faut foncer. C’est m

At 16, realized I loved you—but you used me, At 17, life flipped—felt like a movie. Watched till the ending, heart left empty, Path set in stone, but you still tempt me. At 18, I need you—happy like my last dreamin’, 19, wake up—blue skies, smooth breathin’. 20, moved to the peaks, left memories scattered, Lost and found—still wonder if it mattered. 21—felt like above hell, below heaven, 22, no answers—just more questions. At my grave, it’s an empty casket, 23, why mask it? Pain in a closed basket. Like it’s October—but I need you in June, For just one day, when the sky turns blue. 24—stare death in the eyes, at least once a day, Got you on my mind—don’t know what to say. 25—decoded, 777 in the maze, Matrix livin’, lost in everyday. 26—got a date at 7, she can’t wait, Next day—forget it, hearts don’t relate. 27,28—no pills, no love, just feels, Reap what I sow—cut fake deals. Silhouettes trace 29 years of the picture, Sky’s fallin’—but my heart’s still with ya. 30—nightmares creep, I forget to feel, Private thoughts—mind sharp like steel. Gifted but twisted—knots in my head, Since I was a kid, these dreams never fled. 31—I’ve been places beyond what’s seen, A few weeks pass—what’s it all mean? 32—weak but powerful, torn at the seams, The girl in the white dress—still haunts my dreams. 33—surfin’ waves of the abyss, But tell me—what’d I miss? 34—who’d I piss off? Who did I lose? 35—who am I when I’m not confused? 36—who should I be? Hell, I don’t know, 37—ego rots slow, deep below. 38—pick it up, are you lettin’ go? Or holdin’ on to a dream you won’t show? 39—fall in the sequence, spiral out, Fibonacci flow—no easy route. 40—so long, 41—oh God, 42—watch me move, break the facade. 43—inertia, paint skies at 44, 45—pack a U-Haul, close the door. 46—new home, but ghosts still call, 47—whiskey sips, 48—no more at all. 49—almost half my life in rewind, 50—maybe it’s time to redefine. 60’ll come fast—how the time flies…

Titre : "Ma Vie, Ma Trace" [Intro] Né un mois d’octobre, ça partait déjà mal, Dernier de la famille, mais j'prends tout dans l’bal. Pas d'sourire, pas de paix, j'ai eu que des coups d'blessure, Et j’suis encore là, même quand ça part en fracture. [Couplet 1] J’viens d’la rue où t’as pas d’temps d’respirer, La poisse m’a suivie, j’étais pas préparé. Tout est tordu, mais j'vais pas plier, J'ai charbonné dans l’BTP, c’était pas c’que j’espérais. Les rêves à terre, faut ramper pour s’en sortir, Pas d’grâce, faut grailler, j’vais pas laisser le temps mourir. Les galères m'ont forgé, j'ai pris chaque claque, J'me suis relevé, frère, j'ai même pas tourné l’poing. [Refrain] J’ai pas l’temps d’respirer, j’fais que foncer, Les rêves s’cassent, mais j’les relève en deux-deux, t’as capté ? Les coups pleuvent, mais j’avance, même dans l’froid, Faut pas lâcher, faut foncer, moi j’perds pas le choix. Ma vie, mon destin, j’le prends par les couilles, J’m’arrête pas, j’marche même si ça fait mal. [Couplet 2] La rue m’a pas pris, mais l’hôpital, ouais, c’est là qu’ça m’fout la merde, J’ai vu l’drapé, le bistouri, la pression m’tire sous terre. J'ai pas connu la rue, mais les blocs m’ont traumatisé, Les docteurs, les crises, j’étais loin de l'idéal, c’était dégueulasse. Les heures de colle, les regards froids, J’ai vu ma mère pleurer, j’l’ai laissée souffrir sous le poids. J'voulais tout casser, tout foutre en l'air, Mais au fond, j'me suis dit "non, faut que tu tiendes l'fer". [Refrain] J’ai pas l’temps d’respirer, j’fais que foncer, Les rêves s’cassent, mais j’les relève en deux-deux, t’as capté ? Les coups pleuvent, mais j’avance, même dans l’froid, Faut pas lâcher, faut foncer, moi j’perds pas le choix. Ma vie, mon destin, j’le prends par les couilles, J’m’arrête pas, j’marche même si ça fait mal. [Pont] Ouais, faut pas pleurer, faut pas faire dans l’mou, J’ai pris des claques, j’ai serré les dents, c’est tout. Les portes se ferment, mais moi je frappe, Les faiblesses m’ont forgé, j’les cache sous le capuche. C’est pas la fin, c’est juste un step de plus, J’ai jamais laissé tomber, même quand tout m’a foutu l’pus. [Couplet 3] La vie c’est pas un jeu, c’est un putain de combat, T’fais tes choix, t’assumes, sinon ça va s’finir là-bas. Les faux frères, les faux sourires, j’ai vu tout ça, Mais j’veux pas pleurer, j’veux juste que ça déchire là. J'ai perdu du temps, ouais, mais j'ai rien lâché, J'perdrais pas mes rêves, même s'ils veulent m’arracher. J’ai fait ma place, même si ça m’coûte tout, Mais t'inquiète, mec, j’suis toujours debout, toujours droit, sans aucun doute. [Refrain] J’ai pas l’temps d’respirer, j’fais que foncer, Les rêves s’cassent, mais j’les relève en deux-deux, t’as capté ? Les coups pleuvent, mais j’avance, même dans l’froid, Faut pas lâcher, faut foncer, moi j’perds pas le choix. Ma vie, mon destin, j’le prends par les couilles, J’m’arrête pas, j’marche même si ça fait mal.

“King of the Atlas” (Verse 1) Feeling like a king of this Atlas, Ain’t even really rapped yet, Ain’t even been half-lit— 30 mil for a deal, Not just for skill, They love me ‘cause of passion. My rhymes wreak havoc, It’s divine the way I speak magic. They keep talking all that wackness— Sucker MCs sinking like Titanic. Here’s some free bars, you can have it, I don’t take the credit, I give it all to God— Too much money, wouldn’t even wanna have it. (Pre-Chorus) Started as a mustard seed, now my roots are massive, I’m the Christ bringing light to the masses. Laughing at these political actors, I ain’t a sheep—I’m a leader, never passive. Like Lightning McQueen, all my dreams, I’m attracting. (Chorus) They drop the ball at the disco—don’t panic. Vision’s too manic, downtown rising from the ashes. I’m not a pilot, I’m a captain, 5-star general, still standing while they’re clapping. (Verse 2) Don’t believe in their signs and magic, Lies from fascists spreading socialist propaganda. Told ‘em all, I ain’t part of their faction— I’m too busy making history happen. Getting zoomed in, feeling trapped in, Called up my dogs, sleeping on the mattress. Woke up in Aspen, actress in my cabin, Manifested everything—now look what’s happening. (Bridge) Lights, camera, action, Anything I want, I already had it. Bars rip the stars in half like a MAC-10, My flows last forever—even when I’m past tense. Even in my casket, Throw a bad chick in, I’m still getting head—madness. Never hold me back, hop out, regain traction, Anybody want it? Cool, you can have it. (Verse 3 - Darker Tone) Sick of this rap shit, I’m really on some NoCap shit. Talked to God about the end, He said, “You’re batshit.” Crazy high like Maverick, Bugged out in the cabin. Honestly, don’t even know who would wanna have this— Stand up for the people, get stabbed by the masses. Still picking knives out my back while I’m relaxing. My life’s a movie, no stunt double for the action. (Outro - Power Close) Had to get it, I’m the main attraction, ‘Bout to shut it down— I ain’t from this planet.

Intro: Yeah, Lukia, der Name spricht für sich, Anime-Vibes, wir starten jetzt richtig, Chaos im Kopf, wir nehmen das Mic, Satoru Gojo, du weißt, was ich mein'! Verse 1: Lukia, sie rockt die Szene, Anime-Welt, keine Regeln, keine Mängel, Satoru Gojo mit den Augen so scharf, Hoch wie ein König, der den Thron bewahrt. Chaos im Kopf, doch sie bleibt fokussiert, Verpeilt vielleicht, doch alles wird regiert. Cosplay-Style, keiner hält sie auf, Sie geht ihren Weg, zieht durch, wie'n Lauf. Mit dem Bass so tief, der Beat wird gehypt, Lukia, die Crew bleibt der Shit. Chaos im Kopf, doch der Flow bleibt clean, Mit Anime-Vibes, sie bleibt immer Queen! Pre-Refrain: Lukia, sie lebt den Traum, Satoru Gojo, dieser Anime-Lohn, Chaos, Cosplay, verpeilt, kein Problem, Denn Lukia geht immer weiter, versteht? Refrain: Lukia, das ist der Name, Mit Satoru Gojo, kein Drama, keine Scham, Chaos im Kopf, Cosplay on point, Verpeilt vielleicht, doch das ist ihr Joint. Verse 2: Mit Bass in den Venen, der Beat wird hart, Lukia, immer am Start, Cosplay auf der Straße, alle schauen hin, Ihre Anime-Styles sind der wahre Gewinn. Verpeilt auf der Jagd, doch niemals verloren, In der Anime-Welt, da gibt’s keine Sorgen. Satoru Gojo, die Macht in der Hand, Lukia, sie kennt den Plan. Chaos in der Seele, doch sie bleibt ruhig, Zieht durch die Straßen, nie aus der Fuge. Verpeilt? Ja, aber immer mit Stil, Lukia, das ist der Deal! Pre-Refrain: Lukia, sie lebt den Traum, Satoru Gojo, dieser Anime-Lohn, Chaos, Cosplay, verpeilt, kein Problem, Denn Lukia geht immer weiter, versteht? Refrain: Lukia, das ist der Name, Mit Satoru Gojo, kein Drama, keine Scham, Chaos im Kopf, Cosplay on point, Verpeilt vielleicht, doch das ist ihr Joint.

[Intro] Yo, yo, yo – es geht jetzt ab, Lukia am Mic, der Flow ist kein Spaß! Chaos im Kopf, doch die Moves sind clean, Satoru Gojo? Sie wird zum Dream-Team! [Verse 1] Lukia kommt, der Vibe ist so fett, Verpeilt, doch der Flow ist immer direkt. Cosplay fresh, sie rockt jedes Event, Anime-Queen, jeder weiß, was sie kennt. Chaos im Herzen, doch die Augen so scharf, Sie zielt wie Gojo – direkt in den Starf! Sie nimmt die Bühne, keiner hält sie auf, Ihr Name im Game, sie haut drauf, was drauf! [Pre-Hook] Sie lebt ihren Traum, geht ihren Weg, Verpeilt, doch klar, was sie bewegt! Ihr Style so einzigartig, ihre Vibes so wild, Lukia, die Queen, die den Chaos stillt! [Hook] Lukia, Cosplay, sie ist on fire, Anime-Vibes, sie geht immer higher! Chaos im Kopf, doch sie bleibt der Boss, Kein Platz für Schwäche – sie ist der Kross! 🔥 BAM BAM – sie bringt den Beat, 🔥 BAM BAM – Flow so sweet, sie zieht! [Verse 2] Lukia, Baby, du bist das Gesetz, Cosplay und Style, jeder checkt deinen Set! Chaos? Ja, aber das ist ihr Tanz, Jeder Move sitzt, wie ein Messer im Schanz! Gojo-Style, doch härter im Push, Sobald sie ansetzt, gibt’s keinen Rückschub! Von der Con in die Straßen, sie bleibt unbesiegt, Kein Gegner zu stark, sie nimmt jeden Sieg! [Pre-Hook] Jeder Blick ein Hit, jeder Schritt ein Strike, Sie bleibt die Beste, das bleibt kein Hype! Mit Gojo in der Hand und Chaos im Herz, Lukia’s Flow versaut dir jedes Scherz! [Hook] Lukia, Cosplay, sie ist on fire, Anime-Vibes, sie geht immer higher! Chaos im Kopf, doch sie bleibt der Boss, Kein Platz für Schwäche – sie ist der Kross! 🔥 BAM BAM – sie bringt den Beat, 🔥 BAM BAM – Flow so sweet, sie zieht! [Bridge] Verpeilt? Ja – doch immer auf der Jagd, Jeder Schritt von ihr hat die Crowd so verzagt! Sie kämpft mit Power, sie kämpft mit Stil, Lukia bleibt für immer das wahre Ziel! Chaos im Kopf, doch der Plan ist klar, Sie kämpft für den Sieg – ein Superstar! [Verse 3] Und wenn sie den Raum betritt, wird’s richtig laut, Jeder weiß: Lukia ist der Shout! Anime in ihrem Blut, Cosplay ihre Macht, Sie geht durch die Welt und jeder wacht! Verpeilt, doch niemals verwirrt, Sie weiß, was sie tut, und lässt alle inspiriert! Mit Gojo als Vorbild, wird sie niemals schwach, Denn Lukia bleibt der Star der Nacht! [Pre-Hook] Sie lebt ihren Traum, geht ihren Weg, Verpeilt, doch klar, was sie bewegt! Ihr Style so einzigartig, ihre Vibes so wild, Lukia, die Queen, die den Chaos stillt! [Hook] Lukia, Cosplay, sie ist on fire, Anime-Vibes, sie geht immer higher! Chaos im Kopf, doch sie bleibt der Boss, Kein Platz für Schwäche – sie ist der Kross! 🔥 BAM BAM – sie bringt den Beat, 🔥 BAM BAM – Flow so sweet, sie zieht! [Outro] Lukia – das war’s, sie bleibt unbesiegt, In jeder Con, in jedem Rap, sie ist der Sieg! Verpeilt? Ja, doch nie auf der Strecke, Denn sie lebt ihr Leben, zieht durch, was sie spricht! Boom, sie killt den Mic – das war’s!

[Verse 1] Ébred a sajtó, a hűtőben vár, Krémes a teste, de kemény a sztár. Camembert, cheddar, gouda vagy brie, Mindegyik keményebb, mint egy MC! Kenyerem tetején csúszik a flow, Megolvad a beat, ez forró szó. Trappista híd, ami összeköt minket, Sajtócska diktálja ma a rímeket! [Refrén] Sajtócska, sajtócska, gurul a vibe, Krémes a szöveg, de kemény a style. Olvad a flow, jön a big bite, Ez nem kamu, ez full-drive hype! [Verse 2] Füstölt a rímem, mint a parenyica, Reszelj még, tesó, hadd szóljon a pizza! Mozarella, feta, nekem mindegy, Ha nincs sajt, akkor nincs is respect! Szeleteljük a beatet, mint egy fonott kalács, A cheddar úgy folyik, mint egy rap-lavina ám! Hűtőből kijöttem, itt az új track, Ha nem bírod a sajtot, akkor bye, next! [Refrén] Sajtócska, sajtócska, gurul a vibe, Krémes a szöveg, de kemény a style. Olvad a flow, jön a big bite, Ez nem kamu, ez full-drive hype!

[Verse] Started as a bronze, workin' up the tiers, Morgan Hutton grindin', no time for tears. Pixelated dreams, leave the haters in arrears, Number one edger, global king of peers. [Verse 2] Joystick finessin', skills gettin' tight, Movin' through the ranks, late into the night. Others bought the hacks, Morgan earned the right, Climbed to the top, now the view’s a sight. [Chorus] Bronze beater to grandmaster baiter, Took the slow grind, Morgan no traitor. Worldwide fame, no need for no translator, Jerkmate hero, certified innovator. [Verse 3] Tricks and flicks on point, rhythm in sync, Screens full of fire, haters on the brink. Morgan Hutton’s moves make the noobs rethink, Flows smoother than a chef pouring out a drink. [Verse 4] Edging on the edge, Morgan's in his zone, Skills so sharp, cut the haters right to bone. Global number one, heart as cold as stone, Earned that top spot, throne is all his own. [Chorus] Bronze beater to grandmaster baiter, Took the slow grind, Morgan no traitor. Worldwide fame, no need for no translator, Jerkmate hero, certified innovator.

[Verse 1] Gian Sigma Grillo, moves stealth, ninja finger Silent steps, sound death, icy stinger Boss of the shadows, grind heavy, never linger Eye on the prize, power grip, tight as wringer [Verse 2] Ascend the throne, with no sign of a crown Bones of rivals crumble, dust hits the ground Stealth operator, no noise, no sound Frame of a lion, but flies eagle-bound [Chorus] Sigma hero, run the game, feel the breeze Sigma boss, cut the chain, set 'em free Untouchable like vapor, face unseen Gian Sigma Grillo, master of the scene [Verse 3] Forge his path with iron will, mold with steel Cracks in reality, truth revealed Stand alone, diamond soul, nerves of steel King in the dark, everyone kneels [Bridge] Echo of legends in the alleyway Lean in close, hear the myths they say Sigma hero’s footsteps never decay In the shadows, where the giants play [Verse 4] Enemies fall fast, like domino collapse Vision sharp, strike back, counter slap Dark knight’s blade, in the midnight trap Boss on the block, peel back the wrap