Couplet 1 : J'viens de la rue, là où tout est flou, Pas d'coup de chance, faut s'battre, faut faire le tout. T'as vu comment on vit, on rêve d'plaisir, Mais la route est dure, faut jamais faiblir. C’est pas qu'on t’prend pour un con, faut juste ouvrir les yeux, Pas de magie ici, faut charbonner pour des lieux. On t’parle de loyauté, mais c'est souvent la trahison, Faut pas t'attendre à d'l’amour dans cette condition. Refrain : T'as cru chuis qui, pour te donner des leçons ? J'ai mes rêves, j'ai mes démons, et j'les porte à fond. T'as cru chuis qui, tu voulais faire le boss ? T'as pas compris, j'suis déjà là, j'ai tout mis dans le dosage. Couplet 2 : On t'as vu poser, mais t’as pas vu l'arrière-plan, J'suis pas là pour faire le clown, mais pour marquer le temps. Faut que tu comprennes, y'a pas de place pour les faibles, Les faux-semblants, les mensonges, et les regards en miettes. On veut du cash, mais faut pas oublier l'essentiel, Les rêves peuvent s'effondrer, faut garder l'essentiel. T'as cru qu'on allait tomber ? Que ça allait finir là ? Mais tant qu'j'suis debout, crois-moi, rien n'va m'arrêter là. Refrain : T'as cru chuis qui, pour te donner des leçons ? J'ai mes rêves, j'ai mes démons, et j'les porte à fond. T'as cru chuis qui, tu voulais faire le boss ? T'as pas compris, j'suis déjà là, j'ai tout mis dans le dosage. Pont : La vie c’est pas du cinéma, on écrit nos propres lignes, Pas d’scriptes, pas d’acteurs, juste des rêves et des rimes. Si t'as pas d'vision, tu vas rester dans l'ombre, Mais si tu crois en toi, tu vois la lumière d'la bombe. Refrain : T'as cru chuis qui, pour te donner des leçons ? J'ai mes rêves, j'ai mes démons, et j'les porte à fond. T'as cru chuis qui, tu voulais faire le boss ? T'as pas compris, j'suis déjà là, j'ai tout mis dans le dosage.
Rap
French
The song conveys a sense of determination, resilience, and a struggle against odds. There's an underlying anger towards betrayal and a need for loyalty, paired with ambition and hope for a better future despite difficulties.
This song could be used in motivational settings, such as personal development seminars, fitness playlists, and urban cultural events. It resonates with listeners who face challenges and inspire them to push through adversity.
The song employs a conversational and direct lyrical style, characteristic of rap, with themes of authenticity and self-empowerment. The use of rhyme and rhythm emphasizes key ideas and emotional weight, while the structure includes verses that delve into personal struggles and reflections on loyalty and ambition. The refrain acts as a powerful anthem, encapsulating the overall message.
(Verse 1) Entra en la batalla, yo soy el que manda, (A) Youtubers en la línea, listos pa’ la ofrenda, (B) Fuego en mi letra, la voz se expanda, (A) Males frente a mí, su futuro se enmienda. (B) Sangre en el juego, ¡vengan a probarlo! (A) Versos afilados, mi flow es un balazo, (B) Mira cómo subo, nadie me lo ha dado, (A) Con cada golpe suelto, su ego es un lazo. (B) (Verse 2) Coronando el trono, tú no eres mi igual, (A) Esto es Latin Trap, pura actitud viral, (B) Codo a codo en la lucha, el instinto animal, (A) Fuego en mis venas, no hay tiempo para el mal. (B) Y si juegas con fuego, baby, puedo quemarte, (A) Mis rimas son armas, este juego es un arte, (B) El ruido en el aire, todos quieren un parte, (A) Soy el que se queda, tú no puedes alcanzarte. (B) (Chorus) En la batalla somos fuertes, no hay forma de parar, Rimas que explotan como cohetes al azar, Youtubers luchando, cada uno a su lugar, En el juego de la vida, solo diablo puede ganar.
Za górami za lasami W pewnej polskiej wsi Jeden zjeb ciągle w grę poci się W emefesie zakochał się I od tego czasu za tą gre kurwi się Boeing, airbus wszytko jedno Byle miesięczną pensje kosztowało Huuubert, pilot bezmózgowiec Huuubert, pilot zamachowiec Huuubert, pilot watsymowiec Każdego dnia przed kompem dupe sadza swą, bo potrójną siódemką latać chce Boeinga kupił se choć wie że hajs nie będzie zgadał się Ale ma wyjebane, bo przecież nasiona słonecznika też do zjedzenia się wydają Huuubert, pilot bezmózgowiec Huuubert, pilot zamachowiec Huuubert, pilot watsimowiec Tysiące godzin przegrane ma Każde lotnisko w głowie wgrane Ale na chuj mu to granie Jak nie wie co to trawy dotykanie W jaskini swej kisi się Do stopnia tego że fauna i flora na skórze generuje mu się Huuubert, pilot bezmózgowiec Huuubert, pilot zamachowiec Huuubert, pilot watsimowiec I słuchajcie tego, najzabawniejsze jest to, że Hubert wieży w jedno Gdy podejdzie do dziewczyny i powie rzecz pewną to myśli że ta mu dupe da nie jedną bo pilotem on niezwykłym i na pewno na to polecą. Zdziwi się jednak biedak jeden Bo to co ma pod biurkiem To o Boże przerazi nie jedną Huuubert, pilot bezmózgowiec Huuubert, pilot zamachowiec Huuubert, pilot watsimowiec I kończąc tą historię nieszczęsną Pamiętajcie dzieci jedno Komputery i Boeingi żony wam nie znajdą, ale z pewnością grzyba pod pachami napedzą.
Yo, my name is Sussy, but I’ll rise, Playing in Kvicksund, I’m aiming for the skies. Coaches say I’m too weak for the older crew, But I’m a motherfucking beast, watch what I can do. I’m strong, I’m fast, like a thunderbolt, They put me down low, but I’m ready to revolt. 1 year younger, man, it’s a damn disgrace, I’m tall, I’m hot, ain’t nobody keeping pace. Look at that striker, think he got the flair? I’m better, I’m bolder, I’m livin’ without a care. Score after score, I’m bringing that fire, One day I’ll show ‘em I’m all they desire. I’m sad, I’m mad, but I don’t lose sight, Tomorrow, next year, I’ll be ready to fight. Maybe in an hour, I’ll break through the chains, No more holding back, I’m breaking the reins. I’m a Sigma in the shadows, lurking with intent, Gonna show the world just what I represent. Football’s my game, and I’m bringing the heat, You can’t hold me down, I’m destined to compete. So fuck what they say, I’m rising like a star, In Kvicksund’s field, I’m the one who’ll go far. Strong, fast, tall, got that passion so hot, I’m Sussy, the name, just remember the plot. I’ll score, I’ll shine, I’ll take my place, One year older team, I’ll be in your face. I’m coming for it all, you better take note, The Sigma that never became, but I’ll stay dope.
Couplet 1 : J'viens de la rue, là où tout est flou, Pas d'coup de chance, faut s'battre, faut faire le tout. T'as vu comment on vit, on rêve d'plaisir, Mais la route est dure, faut jamais faiblir. C’est pas qu'on t’prend pour un con, faut juste ouvrir les yeux, Pas de magie ici, faut charbonner pour des lieux. On t’parle de loyauté, mais c'est souvent la trahison, Faut pas t'attendre à d'l’amour dans cette condition. Refrain : T'as cru chuis qui, pour te donner des leçons ? J'ai mes rêves, j'ai mes démons, et j'les porte à fond. T'as cru chuis qui, tu voulais faire le boss ? T'as pas compris, j'suis déjà là, j'ai tout mis dans le dosage. Couplet 2 : On t'as vu poser, mais t’as pas vu l'arrière-plan, J'suis pas là pour faire le clown, mais pour marquer le temps. Faut que tu comprennes, y'a pas de place pour les faibles, Les faux-semblants, les mensonges, et les regards en miettes. On veut du cash, mais faut pas oublier l'essentiel, Les rêves peuvent s'effondrer, faut garder l'essentiel. T'as cru qu'on allait tomber ? Que ça allait finir là ? Mais tant qu'j'suis debout, crois-moi, rien n'va m'arrêter là. Refrain : T'as cru chuis qui, pour te donner des leçons ? J'ai mes rêves, j'ai mes démons, et j'les porte à fond. T'as cru chuis qui, tu voulais faire le boss ? T'as pas compris, j'suis déjà là, j'ai tout mis dans le dosage. Pont : La vie c’est pas du cinéma, on écrit nos propres lignes, Pas d’scriptes, pas d’acteurs, juste des rêves et des rimes. Si t'as pas d'vision, tu vas rester dans l'ombre, Mais si tu crois en toi, tu vois la lumière d'la bombe. Refrain : T'as cru chuis qui, pour te donner des leçons ? J'ai mes rêves, j'ai mes démons, et j'les porte à fond. T'as cru chuis qui, tu voulais faire le boss ? T'as pas compris, j'suis déjà là, j'ai tout mis dans le dosage.
landecho come verberechos esta con martinez no tienen derechos sunpene toca el techo y el pecho de reina su pelo del ombligo nunca se lo peina parecen dos lesbianas reina sus pezones son galletas campurrianas murcia no existe o es minion land guille es muy guapo le van a violar guille es muy guapo le gusta blanca pero llega maya y dice mi amor no violes a martinez porfavor no es tan sencillo quiero un pollon el de landecho o el de un maricon y hay esta bali le explota el calzon martinez va de chulo le petan el culo se come un testiculo y dice quericooo es quiero salsablanca de rubo o shrek
Sexual assault in the workplace can have a deep impact on mental health, often leading to depression. Survivors may feel isolated, helpless, and overwhelmed, which can erode their self-esteem and trust in others. This makes it difficult for them to feel safe or engaged at work. Depression isn’t just sadness—it can bring feelings of hopelessness, difficulty focusing, and a lack of motivation. Some victims may avoid work altogether or struggle with daily tasks, and without support from their workplace, these issues can worsen over time, affecting their careers and personal relationships.” “Similarly, workplace sexual harassment can lead to chronic anxiety. Victims might feel constantly stressed, fearful, and unsafe, which impacts their focus and can even lead to panic attacks. Anxiety often causes physical symptoms too, like sleep problems and high blood pressure. If employers fail to support victims, anxiety can lead to decreased productivity and strained workplace relationships. Outside of work, anxiety can spill over into personal relationships, affecting overall well-being and quality of life.
ruze kolem hraze byly zniceny mrazem uz mi neni blaze a padam na zem jsem pro tebe jen blazen pro tebe bych preplavala bazen rouzloucil ses vzkazem ja upadam do snu Kde jsme spolu a bouchnu hlavou do stolu dam si zero colu a skocim ze skaly dolu chci jit uz nahoru do nebe srdce me zebe nemam vedle sebe tebe venku uz je leden ale ty si jenom jeden alkohol is berem a na povrch se derem
Yo, I’m on the grind, got my eyes on the prize, Hustlin' every day, no time for the lies, Chasin’ big dreams, no fear in my size, Step up in the game, watch me rise, realize. From the bottom to the top, I’m climbin’ every stair, Put my soul in the work, and I’m takin' it there, No shortcuts, no games, I ain't playin' fair, Got a vision so clear, yeah, I’m breathin’ that air.
Baba pro heykır hekledi dünyayı kubilah gibi hekır yok baba pro heykır gücü bu çete yazı yazıp bizi hekledi kendi bilgiseyarını yok eti baba pro heykır pro
**(Verse 1)** Sa kabila ng makabagong panahon, Kumari sa Nepal, simbolo ng pagkakakilanlan, Buhay na diyosa, sa ngalan ng Taleju, Tagapagdala ng biyaya, sa hirap at saya, Ngunit sa likod ng ngiti, may takot na dala, Kapag siya'y nagdugo, kalamidad ay darating, Tradisyon at kultura, naglalaban sa isip, Sa kanyang kwento, may aral na nakatago. **(Rap)** Kumari, bata, sa palasyo'y nakatayo, Isang diyosa, pero sa likod, may lungkot na dala, Pinili sa mga pamantayan, pisikal at espiritwal, Ngunit ang kalayaan niya, tila ba'y naaalipin, Sa mga ritwal, siya'y sentro ng pananampalataya, Hindu at Buddhist, sama-samang nagdarasal, Ngunit sa modernong mundo, may tanong na bumabalot, Paano ang tradisyon, sa batas ay nag-uugat? **(Chorus)** Kumari, Kumari, sa palasyo'y nakatayo, Biyaya ng bayan, sa kanyang mga kamay, Ngunit sa kanyang puso, may lihim na nagkukulong, Kalamidad na darating, sa kanyang pagluha'y sumisiksik. **(Verse 2)** Sa tesis na ito, ugnayan ng relihiyon at batas, Sekularisasyon, sa kanyang kwento'y nakatakas, Bawat hakbang, may laban sa katarungan, Tradisyonal na paniniwala, sa modernong prinsipyo'y naglalaban, Kumari, sa Korte, may boses na dapat marinig, Sa kanyang kwento, may pag-asa at hamon na dala, Kultura at batas, nagtatagpo sa kanyang kwento, Sa kanyang mga mata, nakikita ang hinaharap ng mundo. **(Rap)** Kumari, sa palasyo, siya'y buhay na simbolo, Ngunit sa kanyang puso, may tanong na di matigil, Paano ang kalayaan, sa mga seremonya'y nakatali? Sa kanyang kwento, may aral na dapat ipaglaban, Kumari, ikaw ang liwanag, sa dilim ng mundo, Sa iyong mga hakbang, may pag-asa't pagbabago, Tradisyon at modernidad, sama-samang naglalakbay, Sa iyong kwento, Kumari, kami'y natututo, 'di ba? **(Chorus)** Kumari, Kumari, sa palasyo'y nakatayo, Biyaya ng bayan, sa kanyang mga kamay, Ngunit sa kanyang puso, may lihim na nagkukulong, Kalamidad na darating, sa kanyang pagluha'y sumisiksik. **(Outro)** Sa huli, Kumari, ikaw ang sagisag ng bayan, Sa iyong kwento, may pag-asa at aral na dala, Tradisyon at modernidad, sama-samang naglalakbay, Kumari, sa iyong mga mata, ang kinabukasan ay nariyan.
I wish we met as kids you would have loved the Softer version of me The version my mother wishes she could still see The girl who loved cake on her birthday and nights out with Friends But now counts her colories worried cause skinny is the new Trend She used to love being loved, but now dates men like her father Her feelings bottled up to avoid being a bother The softer version of me wasn’t always this angry I didn’t use to beg people around me to “Please come back and save me” I wish you’d known her before the world gave her reasons to hide Before she started shrinking herself It felt like the only way to survive She knew what it felt like to be wanted To be held without fear, she wasn’t this ghost of a person made of silence and swallowed tears She writes herself letters about dreams to big to fit in her chest now she writes to remember the pieces of her that she's put to rest I wish you knew her before she flinched at every touch Before the world was too heavy and love was too much I wish you’d met her before the world taught her to be so small When her laughter could fill rooms Before she stopped laughing at all And every night she whispers to herself in the dark where no one else can see I wish you met her The softer version of me The one I wish I could still be…